On ne change pas de nom comme de chemises !
Un équilibre à trouver entre intérêt légitime et motifs affectifs
Fin février, Libération publiait un article qui abordait la question du changement de nom de famille sous l’angle des familles juives françaises qui, après la guerre, avaient souhaité franciser leur nom. Les générations suivantes cherchent souvent quant à elles à « reprendre » le nom de leurs aïeuls.